L’accompagnement en coaching fait réaliser aux entrepreneurs qu’ils ne peuvent pas exceller en tout.

On dit qu’ils ont atteint la limite de leurs compétences quand des décisions prises ou actions posées ne donnent aucun résultat ou même empirent la situation. Vous l’avez certainement déjà entendu ou vécu.

Ça arrive particulièrement quand un entrepreneur-propriétaire porte plusieurs chapeaux. Par souci d’économies en économisant sur le salaire d’un nouvel employé, dans l’embauche d’une ressource externe ou par excès de confiance, celui-ci « se plante » dans des champs de compétences qui lui sont pratiquement inconnus.

Passer d’artisan expert dans son domaine à gestionnaire n’est pas un chemin facile!

Qu’en est-il au niveau du département des ventes?

Dans ce milieu dans lequel j’évolue comme expert, le propriétaire s’improvise souvent vendeur et éventuellement gestionnaire des ventes sans aucune expérience. Les conséquences de ses erreurs sont énormes. On  retarde ainsi le développement des affaires de l’entreprise à perdre plusieurs opportunités.

Sans ventes pas d’entreprise!

Malheureusement, l’appel à une ressource externe arrive souvent après les dommages ou quand l’entrepreneur arrive à un mur.

Il n’est heureusement jamais trop tard pour se reprendre, mais à quel prix?

Apprendre de ses erreurs est une formule qui est populaire, car ça fait des histoires à raconter et ceux qui se sont relevés peuvent en parler. Certains gagnent même leur vie à les raconter. On célèbre l’échec! Vous avez le choix de les accepter, de continuer, de foncer et de recommencer en apprenant de vos erreurs ou bien on vous dit avant de prendre trop de risques, engagez un coach! Deux morales pour deux types de personnalités!

Apprendre de ses erreurs est formateur, mais peut-on les éviter?

Certainement pas totalement! On peut par contre les minimiser.

À l’opposé, ceux qui ont de la difficulté à se relever, qui ont laissé leur chemise dans un « deal » qui n’a pas fonctionné, s’en sortent avec des séquelles sur le plan financier, sur le plan humain, familial ou au niveau de leur santé. On entend moins parler de ceux-ci.

Il y a une limite à sortir de sa zone de confort où la prise de risques non calculée peut faire très mal!

Le coach de gestion ou d’affaires certifié de l’ICF, s’il est appelé à temps, permet au coaché d’éviter ces écueils.

Les réflexions entourant des décisions importantes à prendre en entreprise sont « challengées » et font ressortir l’ampleur de la zone d’inconfort et les conséquences avant de passer à l’action. Le coach a appris à poser les bonnes questions et son écoute sans jugement permet au coaché de trouver ses propres solutions.

Une qualité essentielle à la réussite d’un coaching : le coaché doit avoir l’humilité de reconnaître ses limites. Le coaching demande une bonne ouverture d’esprit.

Un bon test psychométrique d’analyse de personnalité, comme l’analyse MPO https://vstrategies.ca/outil-danalyse-de-profil-mpo/  renverra au coaché le miroir de ce qu’il est et ce qu’il perçoit devoir être dans l’organisation. Tous mes coachés le passent volontairement avant le début des sessions. Ça permet de jeter les bases solides de discussion en lien avec les enjeux discutés.

La survie des entreprises est directement reliée au profil de l’entrepreneur et au profil du marché.

On peut travailler sur les aptitudes de l’entrepreneur, mais pas sur le marché. L’idée du siècle, une innovation ou de nouvelles pratiques pourraient faire de vous éventuellement un leader de votre marché!

Le succès dépendra toujours des bonnes décisions qui permettent de saisir des opportunités.

Où en êtes-vous dans vos défis d’entrepreneur ou de gestionnaire? Vous sentez-vous toujours à la hauteur? Dans quels champs de compétence êtes-vous le plus et le moins à l’aise?

Je suis pour cette philosophie où prévenir vaut mieux que guérir.

Si vous croyez sauver du temps à vouloir tout faire ou aller trop vite, parlez-en à ceux qui ont déjà échoué et qui ont finalement perdu du temps à prendre des risques non calculés.

C’est prouvé, il y a plus de 70% de chance de passer le cap des cinq premières années de vie après le démarrage de l’entreprise si les entrepreneurs s’entourent de bons accompagnateurs.

Alors, pourquoi ne pas mettre toutes les chances de votre côté et attendre que ça fasse mal avant d’agir?

Vous avez besoin de réfléchir sur vos défis d’entreprise ou de gestion pour prendre les meilleures décisions? Contact

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Alain Vaillancourt PCC

Coach d’affaires certifié

Accélérateur de croissance des ventes