Faire une différence dans la vie des autres…

 J’ai déjà exprimé dans un article précédent que d’être reconnaissant est un facteur clef de mobilisation. Tout le monde recherche la reconnaissance, lorsque méritée. Il est souvent plus facile de critiquer que de féliciter. Comme gestionnaire, vous pouvez avoir un impact considérable sur la carrière de vos employés. Dernièrement j’ai pris le temps de réfléchir sur l’impact de mes interventions en entreprise. Recevoir des feedbacks positifs est ce que tout professionnel souhaite, car la longévité de leur pratique en dépend. Nous n’avons pas le droit à l’erreur en quelque sorte et si ça arrive, on doit le reconnaitre et ajuster la facturation des services rendus. Travailler à mon compte m’apporte une grande satisfaction. Mes clients payent pour des résultats, donc ils investissent dans une expertise qu’il leur manque. Aucun gestionnaire ou entrepreneur ne peut se targuer d’exceller à tous les niveaux de gestion. Les meilleurs gestionnaires le reconnaissent et s’entourent de meilleurs qu’eux ou demande de l’aide de façon ponctuelle. Le secteur du recrutement et de chasse de tête aura permis à plusieurs candidats de se faire valoir auprès de mes clients et de décrocher l’emploi tant convoité. Bien que je n'ais plus d'influence à la suite d'un placement d'un candidat dans une entreprise, quand je vois que ceux-ci demeurent en poste plus de 3 ans, j’éprouve une grande satisfaction du devoir accompli. Je revois de temps à autres ces gens et certains sont encore reconnaissants et me

Par |2019-12-20T09:06:10-05:00jeudi 20 avril 2017|0 commentaire

L’échec qui fait grandir…

Devant l’inconnu que représentent de nouveaux défis, ça peut être grisant de prendre des risques! Tous les entrepreneurs en prennent. Qui ne risque rien n’arrive à rien n’est-ce pas? Mieux vaut essayer de réaliser son rêve que de rêver sa vie…comment minimiser le risque de prendre une mauvaise décision dans tout projet, du démarrage à la passation des pouvoirs? Quel est le chemin le plus court vers la réussite? Louanger ceux qui tombent, qui se relèvent et qui finalement réussissent m’interpelle. Ils deviennent des héros! Ça fait de belles histoires à raconter. La question que je me pose est : qu’est-ce que ces entrepreneurs auraient pu faire différemment pour ne pas se « planter »? J’aimerais que ces entrepreneurs nous racontent pourquoi ils ont échoué, afin d’aider ceux qui démarrent une nouvelle entreprise pour la première fois ne fassent pas les mêmes erreurs. Certains le font et deviennent des conférenciers. Merci à ceux-ci d’ailleurs et aux organisateurs de l’événement Failcamp   https://www.facebook.com/FailCamp/   qui permettent à ceux qui ont échoué et qui rebondissent, de parler de leur expérience lors de leurs événements où on célèbre l’échec. Apprendre de ses erreurs a un prix! Certains ne s’en relèvent pas. On entend les histoires de ceux qui ont rebondi, mais on n’entend pas celles de ceux qui n’ont pas réussi et qui ne se sont pas relevés, avec les conséquences négatives sur leur vie personnelle. On en connaît tous! Des drames d’entrepreneurs peuvent être évités

Par |2019-10-31T11:53:11-04:00lundi 13 février 2017|0 commentaire

La recette du succès en gestion des ventes

Combien coûtent vos services? C’est la question qu’on me pose de façon instinctive avant même d’avoir présenté une offre. Ma réponse : Ce n’est pas ce que ça coûte qui compte, mais ce que ça rapporte!… Le département de commercialisation est celui où on investit le moins en entreprise. En réalité, plus on investit judicieusement et plus on devrait vendre n’est-ce pas? Il y a évidemment une limite, celle de la capacité de produire et de fournir à la demande et celle de l’absorption du marché convoité. Avons-nous la capacité de produire face à une augmentation projetée des ventes? Est-ce que nous pouvons encore augmenter notre taux de pénétration de marché? Dans quels marchés ou territoires allons-nous mettre nos efforts? Ces questions relèvent de la volonté de croître dans un marché que nous sommes censés connaître. On fonce ou on maintient le statu quo? Tout est une question de vision et d’appétit au risque dans notre quête d’augmenter nos profits et la valeur de l’entreprise. Avez-vous réalisé votre planification stratégique? Quelle est votre vision pour les 3 ou 5 prochaines années? Quelles seront les stratégies à mettre en place? Comment ferez-vous pour les exécuter? Vous avez certainement en main un plan d’action annuel et un plan d’action trimestriel par vendeur? Vous avez aussi tous les outils de contrôle de performance et les qualités techniques et humaines d’un bon gestionnaire de vente. Ça implique que vous savez recruter, former,

Par |2019-11-13T08:39:56-05:00lundi 16 janvier 2017|0 commentaire

« Mettre la switch à fun! »

Un de mes amis,  ex-vice-président marketing d’une grande société m’expliquait que pendant toute sa carrière, il utilisait souvent cette maxime afin de décrire pourquoi il avait du succès dans la gestion de ses équipes. Ce n’était pas le seul élément, mais c’était fondamental! Il m’a bien fait rire quand il m’a parlé qu’il mettait la « switch à fun », mais aussi réfléchir sur le fondement de cette valeur, qui était pour lui très importante : s’assurer que ses employés aient du plaisir au travail, vivent et transmettre leur joie de vivre en cultivant une attitude positive. Je dis souvent que la vie est trop courte pour ne pas l’apprécier et aussi bien la vivre dans le plaisir. Comme on passe plusieurs heures par semaine au travail, en fait plus de 50% de notre vie..., aussi bien les passer dans un environnement agréable où il fait bon travailler. Des employés qui aiment leur environnement sont plus productifs et j’ai remarqué qu’ils en font souvent plus que leur patron en demande. Aime ce que tu fais et tu n’auras jamais l’impression de travailler Chacun vit son expérience au travail en lien avec le fait qu’il trouve un sens à ce qu’ils font. Le milieu de travail doit être un lieu où les employés se sentent bien et la responsabilité du gestionnaire est de mettre en place les conditions gagnantes pour cultiver cette atmosphère. Avez-vous le goût de vous rendre au travail? Plusieurs ont hâte de

Par |2019-11-13T08:59:31-05:00mardi 11 octobre 2016|0 commentaire

Quand le doute s’installe…

Il vous arrive de vous remettre en question? Le chemin que vous avez choisi ne correspond plus à vos aspirations? L’insécurité en lien avec vos aspirations s’installe… le doute surgit… la confiance en soi en prend un coup… suis-je à la place que je veux être dans ma vie ou dans ma carrière? Cette petite voix intérieure vous parle dans les moments où des événements ont fait monter en vous votre vulnérabilité en lien avec des insuccès, à une réponse négative à une offre de service que vous attendiez, à l’appréciation d’un patron qui ne se manifeste pas, etc. Le syndrome de l’imposteur, vous connaissez? Sentir qu’on n’est pas sur son « X » et se poser comme question : qui suis-je pour affirmer que je peux réaliser ce que mon client demande? À l’origine de votre projet ou de votre nouveau poste, la décision que vous avez prise comme entrepreneur ou gestionnaire a été prise avec assurance pourtant! La confiance s’effrite… la peur de l’échec arrive… le doute s’installe. Est-ce normal que ces sentiments vous envahissent? Est-ce normal de se remettre en question? Comment passer à travers ces périodes déplaisantes et inconfortables qui, à la limite foutront votre rêve en l’air si vous perdez la foi en la réalisation de celui-ci! Sachez qu’il est sain de se remettre en question Faire cette réflexion et ne pas en parler est rempli de contradictions. Des gens dépendent de vous et comptent sur

Par |2019-11-13T09:26:15-05:00lundi 9 mai 2016|0 commentaire

J’ai peur… tant pis je saute !!

J’ai intitulé cet article « J’ai peur...tant pis je saute...» afin d'illustrer et de nommer le sentiment qui habite souvent certains clients coachés alors que ceux-ci ressentent la peur dans différentes situations où ils sont inconfortables devant l’inconnu. Pourquoi certains démarrent leur entreprise et d'autres ne le font pas? Être en affaires et responsable d'une équipe amène son lot de peurs. En développement des affaires, il y a une grande part d’inconnu et d’incertitudes devant la sollicitation de personnes qu’on ne connaît pas. Il y a aussi de la peur dans le fait de ne pas maîtriser le flux d’activités nécessaire à la viabilité ou la croissance financière de son entreprise ou de sa destinée. Comment faire pour vaincre ses peurs? D’abord, reconnaître qu’elles existent pour pouvoir nommer dans quelles circonstances vous les ressentez. Ensuite vous posez la question : pourquoi est-ce que je ressens cette peur dans un des cycles du développement de mes affaires ? D'autres vous diront que "foncer" les yeux fermés est l'antidote de la peur! Sauter dans le vide en quelque sorte... Liste des peurs entendues : La peur de l’échec La peur du rejet La peur de perdre le contrôle La peur de déléguer La peur de ne pas être à la hauteur La peur du jugement de l’autre La peur de l’isolement et de perdre la motivation (travailleurs autonomes) La peur de perdre le focus sur mon plan de match (hyperactifs) La peur de l’insécurité financière

Par |2019-11-13T09:42:39-05:00vendredi 8 avril 2016|0 commentaire

Quand l’intuition prend toute la place…

Cet article s’adresse aux gestionnaires qui sont souvent guidés par leurs intuitions. Avoir un bon ou un mauvais feeling sur une situation ou une personne, ça vous est arrivé? Ce feeling est souvent exprimé et partagé avec nos collaborateurs ou nos proches. Ça nous rassure d’ailleurs de le partager, car on désire le valider. Ça relève d’un ressenti personnel ou d’une lecture de ce qui va se passer. Avez-vous déjà pris une une décision sur un bon feeling? Qu’est-ce qui influence chaque personne à éprouver un sentiment positif ou négatif? L’expérience est certainement la maîtresse des jugements précoces, car la somme de celles-ci nous permet d’établir des statistiques non scientifiques de succès ou d’échecs. J’entends souvent, « J’ai vécu une situation semblable dans le passé et plus d’une fois c’est ce qui est arrivé ». Mon parcours de mentor me permet de partager mes expériences justement pour éviter à mes clients de faire des erreurs. Et quand je me rends compte qu’ils leur manquent un outil essentiel à l’atteinte de leurs objectifs, je les dirige vers des ressources spécialisées! Nos croyances influencent aussi notre jugement. On juge rapidement! Il existe même des formations afin d’aider des candidats à faire une bonne impression en peu de temps en entrevue! Les 4 premières minutes d’une première rencontre sont capitales au succès de la suite de la discussion. L’expression « j’ai un bon fit » relève de l’intuition que la relation va fonctionner. Mais est-ce

Par |2019-11-13T09:49:03-05:00mercredi 17 février 2016|0 commentaire

Les 13 comportements clés des patrons leaders

 Voici l'extrait d'un article de Jean-Pierre Fortin MCC, ex-PDG de Coaching de gestion inc, l'école où j'ai terminé ma formation de coach professionnel, qui a eu l'occasion de coacher plusieurs gestionnaires de haut niveau. Cet article qui a été diffusé en 2013 et que je partage avec vous chers(ères) lecteurs (trices) et leaders, vous permettra de faire une introspection des comportements que vous exercés dans votre organisation comme patron.     Voici les 13 comportements clés des patrons leaders : 1- Ils ont une ambition clairement exprimée de ce qu’ils veulent accomplir, c’est leur passion. 2- Ils ont défini explicitement leurs objectifs ce qui explique leur métier. 3- Ils ont précisé leurs valeurs et leurs convictions, ils sont conscients de ce fait des conditions dans lesquelles ils vont accomplir leur mission. Leurs valeurs et leur passion ne sont pas négociables. 4- Ils s’entourent des meilleurs employés, c’est à dire de ceux qui possèdent l’expertise, qui partagent leurs valeurs et leur passion et qui disposent des compétences intrinsèques pour s’investir de façon autonome et responsable dans la réalisation des objectifs. 5- Ils délèguent le travail tout en inspirant leurs équipes, ils accordent le droit à l’erreur, ils reconnaissent la valeur des personnes, ils encouragent la prise de risques, ils sont justes dans leurs sanctions. 6- Ils confrontent leurs employés, brassent les idées, permettent à chacun de s’exprimer pour sans cesse développer les meilleures idées et les meilleures solutions. 7-

Par |2019-11-13T09:51:42-05:00vendredi 29 janvier 2016|0 commentaire

Êtes-vous en contrôle?

Tout va vite aujourd’hui et savoir ralentir pour mieux repartir est essentiel! Il existe plusieurs façons de ralentir et le temps passé avec un coach ou un mentor est un des moyens qui permet de faire le point et de revoir ses objectifs. Le coach agira comme un guide, une boussole pour utiliser une métaphore qui vous aidera à « sortir de la forêt ». C’est une expression qu’on entend souvent et « avoir le nez collé sur la vitre » en est une autre….Savoir s’élever au-dessus des arbres est essentiel afin de réajuster le tir. Le tourbillon du quotidien, la recherche de rendements, l’augmentation de la productivité et la rapidité des moyens technologiques permettent d’aller plus vite, mais à quel prix! Un autre bon moyen pour ralentir est de suivre des formations. Elles sont importantes, car elles permettent de se repositionner dans des pratiques qui étaient alors inconnues. J’ajouterais que les formations continues incluant des exercices pratiques sont essentielles à l’amélioration des compétences, car c’est dans la pratique que la formation prend tout son sens. L'andragogie ( formation aux adultes), c'est la formation pour modifier le comportement et l'adulte apprend par expérimentation pour y trouver un sens et changer des habitudes ancrées des apprentissages passées, d'où le besoin d'un coach pour accompagner et motiver le coaché dans le changement. Le coach ne forme pas, il accompagne dans l'action et suscite des prises de conscience qui permet au coaché de prendre les

Par |2019-11-13T12:29:44-05:00mardi 12 mai 2015|0 commentaire

Besoin d’un consultant, d’un coach ou d’un mentor?

S’il y a un avantage à cumuler les années, c’est au niveau du mentorat. La crédibilité s’acquiert avec le temps et le partage des expériences fait partie du mentorat. Les techniques de coaching d’une école reconnue par l’ICF menant à la certification de coach professionnel sont essentielles et je suis devenu un meilleur coach grâce à cet investissement. Mais l’expérience ne s’achète pas…Je suis donc mentor pour partager mon expérience et me permets lors de sessions de coaching d’être aussi mentor au besoin! La différence entre le coaching de gestion ou d'affaires et le mentorat se situe particulièrement dans l'établissement d'un échéancier pour réaliser des objectifs bien définis dans le cas du coaching. Dans les 2 cas on ne donne pas de conseils, mais on challenge les réponses données par des questions permettant de voir et de penser différemment. C'est le savoir-être qui est à développer dans les 2 cas. Je vous recommande fortement de prendre la formation reconnue par l'ICF si vous souhaitez devenir Coach de gestion! Vous comprendrez la pertinence de la suivre pendant et après celle-ci. La profession est en demande et est davantage reconnue après toutes ces années d’existence. Les 125 heures de formation et les dizaines d’heures de pratique encadrent la profession. Il n’y a pas de place pour l’improvisation dans ce contexte et un code d’éthique encadre la pratique. Il ne faut pas confondre le coaching et la consultation! Le savoir-faire appartient

Par |2019-11-13T14:06:01-05:00lundi 9 mars 2015|0 commentaire

ALAIN VAILLANCOURT BAA, ACC

  • Coach d’affaires certifié de l’ICF
  • Consultant, analyste accrédité de l’outil psychométrique MPO
  • Détenteur du 2e cycle d’études en coaching de l’Académie de Coaching de Gestion Inc.
  • Formateur expert en gestion des ventes  à l’École d’Entrepreneurship de Beauce
(suite)  

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